Forum / Roleplay / L'histoire d'un gnome !
30 Janv 2016 à 17h17 | #111
-Beh oui ma p'tite dame... La mer c'est grand, on la traverse pas en jet-pack hein, heureusement qu'j'étais là pour vous r'pêcher, vous et votre bestiole..
Aranelle baissait la tête, les joues rougis de honte. Son renardeau sur son épaule, faisait la grimace, son pelage était ébouriffé et mouillé jusqu'au bout de la queue.
Face à elle, son sauveur, un pêcheur fort dodu, qui parlait avec le vulgaire patois des bas quartiers nubien.
-Z'auriez vu vo't trogne !-dit-il, en jetant ses gros filet de pêche à l'eau- z'avez d'la chance que je passais par là, m'dame !
La chasseuse de prime, en essayant de réconforter son renard, qui avait vu son orgueil- et ses poils- partir en vrille, marmonna d'une voix à peine audible"Merci monsieur..."
-Rah dans quel temps l'on vit ! Les guerriers sont tous des pauv'types maint'nant, z'ont tellement d'armes "high-tech"- beugla t-il avec un ton méprisant- qu'y sont pu capable d'réflechir à la bataille ! Avant z'on était des braves, des courageux m'dame ! On s'combattait la hache à la main, de la boue pleins les pattes, et on f'sait des stratégie, j'vous dit !-Il prit un temps pour reprendre son souffle- on partait pas parcourir la mer en jet-pack, comme font les pimbêches dans vo't genre !
La guerrière essuya calmement l'insulte, non sans caresser doucement le manche de son arbalète.
-Dites monsieur, comment vous conduisez ce bateau ?
Le pêcheur fut pris d'un joyeux émoi, c'était la première fois qu'on s'intéressait à son métier... Il lâcha ses filets de pêches et dit :
-Eh bin, en fait c'est simple, y'a une manette on là dirige dans l'sens qu'on veut... c'est tout. Après y'a des subtilités, mais généralement, c'est tout..
La dame aux cheveux bleutées, s'approcha du gros nub, elle prit son arbalète à la main, et la pointa sur son ventre redondant."Merci" dit-elle, entre ses dents.
Puis, d'un coup sec et habitué, la flèche traversât le corps du pauvre homme, et sa masse tomba à l'eau, entraînée par le choc du tir.
Aranelle, mit sa tête au bord du bateau et regardât dans les yeux du noyé, qui chutait au fond de la mer, un visage déformé par la surprise.
"Pimbêche ?"
Puis elle prit la manette à la main et partît vers l'horizon.
Aranelle baissait la tête, les joues rougis de honte. Son renardeau sur son épaule, faisait la grimace, son pelage était ébouriffé et mouillé jusqu'au bout de la queue.
Face à elle, son sauveur, un pêcheur fort dodu, qui parlait avec le vulgaire patois des bas quartiers nubien.
-Z'auriez vu vo't trogne !-dit-il, en jetant ses gros filet de pêche à l'eau- z'avez d'la chance que je passais par là, m'dame !
La chasseuse de prime, en essayant de réconforter son renard, qui avait vu son orgueil- et ses poils- partir en vrille, marmonna d'une voix à peine audible"Merci monsieur..."
-Rah dans quel temps l'on vit ! Les guerriers sont tous des pauv'types maint'nant, z'ont tellement d'armes "high-tech"- beugla t-il avec un ton méprisant- qu'y sont pu capable d'réflechir à la bataille ! Avant z'on était des braves, des courageux m'dame ! On s'combattait la hache à la main, de la boue pleins les pattes, et on f'sait des stratégie, j'vous dit !-Il prit un temps pour reprendre son souffle- on partait pas parcourir la mer en jet-pack, comme font les pimbêches dans vo't genre !
La guerrière essuya calmement l'insulte, non sans caresser doucement le manche de son arbalète.
-Dites monsieur, comment vous conduisez ce bateau ?
Le pêcheur fut pris d'un joyeux émoi, c'était la première fois qu'on s'intéressait à son métier... Il lâcha ses filets de pêches et dit :
-Eh bin, en fait c'est simple, y'a une manette on là dirige dans l'sens qu'on veut... c'est tout. Après y'a des subtilités, mais généralement, c'est tout..
La dame aux cheveux bleutées, s'approcha du gros nub, elle prit son arbalète à la main, et la pointa sur son ventre redondant."Merci" dit-elle, entre ses dents.
Puis, d'un coup sec et habitué, la flèche traversât le corps du pauvre homme, et sa masse tomba à l'eau, entraînée par le choc du tir.
Aranelle, mit sa tête au bord du bateau et regardât dans les yeux du noyé, qui chutait au fond de la mer, un visage déformé par la surprise.
"Pimbêche ?"
Puis elle prit la manette à la main et partît vers l'horizon.
4 nubs approuvent ce message
30 Janv 2016 à 17h43 | #112
Wut xD Quelle rebelle hahaha ! Tu gères, continues !
1 nub approuve ce message
30 Janv 2016 à 19h51 | #113
J'y veillerais :3 Au passage je tiens à m'excuser pour mon bon gros mois d'absence, j'espère que j'vous ai pas trop manqué :x
31 Janv 2016 à 11h11 | #114
Tu nous as manqué Vil' !! :D
Comment pouvais donc bien se porter le Pole Roleplay sans notre ecrivain Favoris ? :x
Comment pouvais donc bien se porter le Pole Roleplay sans notre ecrivain Favoris ? :x
31 Janv 2016 à 14h40 | #115
si tu m'as manqué j'ai pleuré toutes les nuits j'ai même sacrifié des poulets pour que tu reviennes!!
04 Fév 2016 à 19h52 | #116
Et tes sacrifices ont étés entendus jeune mortel, voici la suite :
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Derrière les montagnes et les falaises, derrière les butes et les collines, côtoyant de près les nuages qui dissimulent leur sommet...
Les Pirates ; éternels forbans des océans, marginaux impénitents, rapineurs universels, guerriers sanglants, défiant la mort et la mer, aventuriers mystérieux, dont les yeux ont vus milles choses innommables...
Ces Pirates là qui portent sur leurs bras musclés, de lourds sacs de sables pour construire un fort à leur nouveau maître. Ce maître là qui marche lentement entre leurs rangs, les surveillent d'un air fatigué, bien qu'heureux de pouvoir regarder la faciès soumise et humiliée de ces serviteurs. Il feigne une posture droite et sévère, mais derrière ces lunettes luisantes, l'on peut distingué les nombreuses nuits blanches qu'il à dû subir, à organiser des plans, planifier ces troupes, et clore de vieilles affaires à coup de lame.
Éreinté jusqu'au bout de la cape, il fit signe à Skannez, son bras droit, de diriger la construction du fort un certain temps.
C'était un nub aguerri qui avait participé à nombres de batailles, et qui était-pour une raison inconnue- complètement loyal à Bilou. Le poids des années l'avait couvert de cicatrices, et une chevelure désordonnée et grisâtre couvrait ces tempes, personne ne savait son âge, et c'était une chose qu'il n'évoquait jamais.
Sous le bruit des ordres de son officier, Bilou rentra dans sa cahutte, l'intérieur était baigné par la lumière des lampes à huiles, et des gardes se tenait devant l'entrée, lance à la main, à l'extrémité de la pièce, le grand trône de Bilou, noir et décoré d'armes dérobées sur les corps de chefs ennemi, d'un air las et épuisé, il s'affalât sur le trône, et enleva ces éternelles lunettes, d'un ton autoritaire il adressa au garde :
"Éteignez moi ces lumières et laissez moi seul" Prestement, les gardes opérèrent, et disparurent le plus rapidement possible. Bilou se dévêtit de son long drapé noir, révélant un torse frêle et usé, couvert de blessures immenses et profondes. Plongé dans l'obscurité, il poussa un long soupir, et dit dans un souffle mélancolique : "Que vais-je devoir faire encore, pour enfin en finir ?".
Soudainement, un corbeau sombre, aux reflets vermeilles,sortit de l'ombre, et se posa sur l'épaule du nub.
"Cela dépendra du prix que tu sera prêt à payer..."
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J'devrais arrêter de séparer les personnages, les lecteurs vont plus rien comprendre :c
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Derrière les montagnes et les falaises, derrière les butes et les collines, côtoyant de près les nuages qui dissimulent leur sommet...
Les Pirates ; éternels forbans des océans, marginaux impénitents, rapineurs universels, guerriers sanglants, défiant la mort et la mer, aventuriers mystérieux, dont les yeux ont vus milles choses innommables...
Ces Pirates là qui portent sur leurs bras musclés, de lourds sacs de sables pour construire un fort à leur nouveau maître. Ce maître là qui marche lentement entre leurs rangs, les surveillent d'un air fatigué, bien qu'heureux de pouvoir regarder la faciès soumise et humiliée de ces serviteurs. Il feigne une posture droite et sévère, mais derrière ces lunettes luisantes, l'on peut distingué les nombreuses nuits blanches qu'il à dû subir, à organiser des plans, planifier ces troupes, et clore de vieilles affaires à coup de lame.
Éreinté jusqu'au bout de la cape, il fit signe à Skannez, son bras droit, de diriger la construction du fort un certain temps.
C'était un nub aguerri qui avait participé à nombres de batailles, et qui était-pour une raison inconnue- complètement loyal à Bilou. Le poids des années l'avait couvert de cicatrices, et une chevelure désordonnée et grisâtre couvrait ces tempes, personne ne savait son âge, et c'était une chose qu'il n'évoquait jamais.
Sous le bruit des ordres de son officier, Bilou rentra dans sa cahutte, l'intérieur était baigné par la lumière des lampes à huiles, et des gardes se tenait devant l'entrée, lance à la main, à l'extrémité de la pièce, le grand trône de Bilou, noir et décoré d'armes dérobées sur les corps de chefs ennemi, d'un air las et épuisé, il s'affalât sur le trône, et enleva ces éternelles lunettes, d'un ton autoritaire il adressa au garde :
"Éteignez moi ces lumières et laissez moi seul" Prestement, les gardes opérèrent, et disparurent le plus rapidement possible. Bilou se dévêtit de son long drapé noir, révélant un torse frêle et usé, couvert de blessures immenses et profondes. Plongé dans l'obscurité, il poussa un long soupir, et dit dans un souffle mélancolique : "Que vais-je devoir faire encore, pour enfin en finir ?".
Soudainement, un corbeau sombre, aux reflets vermeilles,sortit de l'ombre, et se posa sur l'épaule du nub.
"Cela dépendra du prix que tu sera prêt à payer..."
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J'devrais arrêter de séparer les personnages, les lecteurs vont plus rien comprendre :c
2 nubs approuvent ce message
15 Juin 2016 à 21h13 | #117
<<Les années sont des fourmis rouges, si futiles, si passagères et dénuée d'importance lorsqu'elles viennent nous toucher seule. Mais atrocement destructrices quand elle se rallient en groupes, quand elles deviennent innombrables et puissantes...Elle nous font ressentir le poids de leur nombre, et finissent par avoir notre peau.
Pour ma part, mon corps commence à s'apparenter bien plus à un cadavre qu'à un être vivant, mais mon esprit surmonte les ravages du temps, et sait rester vif et fécond.
Si j'en suis arrivé à plancher ces mots sur les feuilles de ce carnet, ce n'est pas pour une raison futile, comme le sont là plus-part des raisons, ce n'est pas pour combler l'ennui, ni pour chercher dans l'écriture un remède à la solitude.
J'écris, par devoir, il y a des choses en ce monde qui méritent d'être écrite, des faits qu'il faut immortaliser dans l'encre, pour éviter qu'ils ne se perdent dans l'incessant tumulte de l'histoire.
Je sais bien que la moitié des nubs ne savent pas lire, et que l'autre moitié ne connaît même pas l'existence de ce verbe, mais, même si personne n'y posera jamais les yeux, j'aurai au moins le contentement de mourir en laissant cette trace derrière moi...
Tout à commencé alors que je n'étais qu'un jeune gnome, fougueux, et atrocement bête...
J'avais fui les terres du père noël, en quête d'aventures, de sang, et de gloires. Et j'étais tombé sur ce monde, délaissé des dieux, que je n'ai plus jamais quitté depuis, le Monde des nubs.
Ce monde me mena rapidement dans un tumulte de combat, de guerre, et de jeux d'alliance dont...>>
Un nub entre avec fracas dans la pièce, Vilgnom sursaute et fait tomber sa plume par terre.
-Mr le Gnome ! La NWO est là !
Le nub a les traits figés par l'horreur, et tiens maladroitement dans la main une épée de Libur.
-La NWO ?! Mais qu'est-ce qu'ils font là ?
-Ils sont armés, et en grands nombres ! Ils ont pénétré le château et tué la princesse ! Ils s'approchent d'ici Mr le Gnome !
Vilgnom ferme son livre et le range avec la plume dans la poche de sa veste, il marche lentement à travers la salle, et fouille à travers une pile de vêtements sales. Il en sort un grand coffre poussiéreux et l'ouvre sans cérémonie, à l'intérieur, brille une hache à deux tranchants, usée par le temps et frappé d'une signe écarlate de la Horde.
Pour ma part, mon corps commence à s'apparenter bien plus à un cadavre qu'à un être vivant, mais mon esprit surmonte les ravages du temps, et sait rester vif et fécond.
Si j'en suis arrivé à plancher ces mots sur les feuilles de ce carnet, ce n'est pas pour une raison futile, comme le sont là plus-part des raisons, ce n'est pas pour combler l'ennui, ni pour chercher dans l'écriture un remède à la solitude.
J'écris, par devoir, il y a des choses en ce monde qui méritent d'être écrite, des faits qu'il faut immortaliser dans l'encre, pour éviter qu'ils ne se perdent dans l'incessant tumulte de l'histoire.
Je sais bien que la moitié des nubs ne savent pas lire, et que l'autre moitié ne connaît même pas l'existence de ce verbe, mais, même si personne n'y posera jamais les yeux, j'aurai au moins le contentement de mourir en laissant cette trace derrière moi...
Tout à commencé alors que je n'étais qu'un jeune gnome, fougueux, et atrocement bête...
J'avais fui les terres du père noël, en quête d'aventures, de sang, et de gloires. Et j'étais tombé sur ce monde, délaissé des dieux, que je n'ai plus jamais quitté depuis, le Monde des nubs.
Ce monde me mena rapidement dans un tumulte de combat, de guerre, et de jeux d'alliance dont...>>
Un nub entre avec fracas dans la pièce, Vilgnom sursaute et fait tomber sa plume par terre.
-Mr le Gnome ! La NWO est là !
Le nub a les traits figés par l'horreur, et tiens maladroitement dans la main une épée de Libur.
-La NWO ?! Mais qu'est-ce qu'ils font là ?
-Ils sont armés, et en grands nombres ! Ils ont pénétré le château et tué la princesse ! Ils s'approchent d'ici Mr le Gnome !
Vilgnom ferme son livre et le range avec la plume dans la poche de sa veste, il marche lentement à travers la salle, et fouille à travers une pile de vêtements sales. Il en sort un grand coffre poussiéreux et l'ouvre sans cérémonie, à l'intérieur, brille une hache à deux tranchants, usée par le temps et frappé d'une signe écarlate de la Horde.
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